Le Chant du hareng
Une pièce chorégraphique comme métaphore de la pollution sonore, qui altère la communication des espèces marines, notamment le hareng.
Le hareng est le seul poisson qui émet des vibrations, des trains de bulles qui créent des ondes. Scientifiquement prouvées, ces émissions jouent un rôle de médiation sociale. Aujourd’hui ce moyen de communication atypique se voit altéré par la pollution sonore des fonds marins.
Le spectacle Le Chant du hareng en est une métaphore. Mêlant danse, vidéo et forme documentaire, il questionne la place de nos interactions sociales, influencées par nos nouveaux moyens de communication et nos identités virtuelles. Comment construire notre relation à l’autre, à soi, dans ce nouveau paradigme ?
Cette pièce chorégraphique vous plonge dans un voyage sensoriel et questionne le rapport à notre corps et à notre image. Lyli Gauthier interroge ici la place de l’être face à l’évolution marchande et normative de nos sociétés contemporaines. Les quatre interprètes, accompagnés par les récits de vie, nous ancrent dans le réel, éprouvent, exultent à travers leurs corps, et témoignent d’une ascension collective vertigineuse vers une promesse que nous persistons à croire.
Production Compagnie I Wanna Be. Coproduction Le Dôme Théâtre d’Albertville, scène conventionnée d’intérêt national Art en territoire, Malraux scène nationale Chambéry Savoie, Château Rouge, scène conventionnée – Annemasse, La Comète, espace d’exploration artistique – Saint-Etienne, Le Diapason – Saint-Marcellin. Avec le soutien de La DRAC Savoie, de la DRAC et Région Auvergne- Rhône-Alpes, de la Ville de Chambéry, de la Spedidam, de l’Adami, de la caisse de dépôt – mécénat danse, du Centre Chorégraphique Pôle Pik / Pôle en Scène – Bron, du centre chorégraphique National de Grenoble, du CND de Lyon, du CDCN Le Pacifique de Grenoble.
Intervenant·e·s
Compagnie I Wanna Be