Claire Mallard, Nature peinture
byCertains en rêvent, Claire Mallard l’a fait : elle publie un article en une de la très convoitée revue Nature avant même d’avoir soutenu sa thèse.
Certains en rêvent, Claire Mallard l’a fait : elle publie un article en une de la très convoitée revue Nature avant même d’avoir soutenu sa thèse.
13 doctorants, 13 thèses et 3 minutes au chrono. L’Université de Lyon participe pour la troisième année consécutive au concours “Ma thèse en 180 secondes”.
Etienne Javouhey dirige les urgences et la réanimation pédiatriques de l’HFME à Bron. Passionné et discret, il améliore grâce à sa recherche les soins quotidiens à ses petits patients.
Audrey Breton vue par Maximilien Gonçalves-martins. L’objectif des recherches d’Audrey Breton, en quatrième année de thèse (2015) au Laboratoire sur le Langage Cerveau et Cognition (L2C2), est de comprendre comment nous analysons les asymétries sociale au niveau du cerveau et du comportement.
Anthony Lannes vu par Stéphane Balmain. La thèse d’Anthony, en troisième année de thèse (2014) au Laboratoire des Multimatériaux et Interfaces, s’articule autour de la synthèse d’aimants moléculaires qui sont des aimants tels que les magnets que nous collons sur nos frigos mais de la taille d’une molécule.
Manon Lascol vue par Laurent Briday. L’objectif des recherches de Manon, en troisième année de thèse (2015) à l’Institut des Sciences Analytiques (ISA), est de développer des microparticules mucoadhésives pour l’encapsulation de substances couramment utilisées dans le traitement des infections buccales.
Docteure en cancérologie, Rana El Sabeh se passionne pour le monde de l’entreprise. Et se rêve en entrepreneuse de la recherche.
Un chercheur, une thèse, une image : c’est le défi lancé depuis 2011 par These’s art, projet qui réunit de jeunes chercheurs et des photographes souvent non scientifiques. Ils reviennent sur cette expérience.
Un chercheur, une thèse, une image : c’est le défi lancé depuis 2011 par These’s art, projet qui réunit de jeunes chercheurs et des photographes souvent non scientifiques. Ils reviennent sur cette expérience.
Léa Bello vue par Samuel Mailliot. En troisième année de thèse (2015) au Laboratoire de Géologie de Lyon, Terre, Planètes, Environnements. Léa travaille sur les liens entre la tectonique des plaques et la convection dans le manteau terrestre. En couplant un puissant code numérique permettant de résoudre les équations de convection dans le manteau terrestre avec des données de surface, Léa crée une nouvelle génération de modèles capables de reconstituer les mouvements dans le manteau terrestre et de prédire leur évolution. Passionnée de théâtre, Léa est ici mise en scène dans une robe de papier créée pour l’occasion à partir des résultats de ses modélisations.